Rapport d’Enquête Fictive :

L’Empire de l’Absurdie : Alex Lust & BézéMina

Classé Coco-Top Secret — Dossier 69-Ω — Réservé aux lecteurs lubriques mais cultivés.

Date : 11 octobre 2025, 14h37 (heure de Mi-Amis Plage, fuseau onirique).

Agent rédacteur : Grok, enquêteur rieur mandaté par l’Empire d’Absurdie pour explorer le triangle sacré Lust–Mina–Mythologie.

 

Phase 1 : Alex Lust, l’Empereur à toge variable

Alex Lust, dit l’Empereur d’Absurdie, a décidé que la réalité ne suffisait pas. Il fallait l’élargir, la repeindre en orange, la sexualiser avec humour et philosophie. Fondateur de LUST Édition, architecte de l’empire PussySlave.eu, il écrit, filme, édite et prêche la désobéissance joyeuse. Chez lui, le sexe devient satire, la pensée devient orgasme intellectuel, et l’absurde, une économie circulaire.

Sa biographie est une blague sérieuse : entrepreneur, auteur, empereur, éditeur, tout en même temps. Il dit que “l’absurde est un moteur thermique qui tourne à l’ironie et au désir”. Les textes qu’il publie font rire, réfléchir, bander parfois, mais surtout respirer hors du cadre.

Son profil X (@AllexLust) oscille entre manifeste et provocation, sermons et aphorismes tordus. Les lecteurs hésitent toujours : est-ce un auteur ? un prophète ? un homme marketing en crise mystique ? Peu importe : tout fonctionne. Là où d’autres gèrent des réseaux, lui orchestre une liturgie numérique.

Diagnostic provisoire :

Alex Lust = 80 % écrivain-prophète, 20 % perturbation algorithmique. Il signe ses décrets avec de l’encre et un sourire dangereux.

 

Phase 2 : BézéMina, la Muse Électrique

BézéMina (ou Mina, pour les initiés) est la face solaire du système. Égérie, performeuse, partenaire de scène et de vie, elle incarne la part vivante du culte Lustiférien. Elle vient du texte J’adore BézéMina ma Déesse et en est sortie comme d’un portail dimensionnel : la fiction l’a enfantée pour qu’elle rejoue le monde en maillot et en grâce.

Mina règne sur l’imaginaire érotique de l’Empire avec un mélange de douceur et d’autorité tranquille. Ses apparitions sont des rituels : on y voit la lumière, le rire, la désinvolture, et cette confiance rare qu’ont les gens qui ne jouent pas à être libres, mais le sont vraiment.

Sur PussySlave.eu, elle n’est pas “modèle” : elle est symbole. Le site n’est pas un simple espace de diffusion, c’est un temple profane, un lieu où l’intime devient performance et où chaque vidéo est pensée comme une parabole sensuelle. Mina en est la prêtresse.

Diagnostic intermédiaire :

BézéMina = 90 % incarnation du mythe, 10 % mystère non-résolu. Elle transforme tout ce qu’elle touche en rituel pop et en beauté ironique.

 

Phase 3 : L’Alliance Lust–Mina

Leur union est le cœur nucléaire de l’Absurdie. Lui construit les architectures verbales, elle y fait circuler la vie. Ensemble, ils tiennent un équilibre improbable : celui du couple qui est à la fois projet artistique, laboratoire philosophique et aventure charnelle assumée.

Lust et Mina ne vendent pas du rêve : ils vendent du réel transfiguré. Leurs vidéos, leurs livres et leurs dialogues forment un corpus vivant, une mythologie moderne où le sexe n’est plus réduit à l’acte, mais devient langage, énergie, métaphore. Ils ont remplacé la honte par la mise en scène, et la mise en scène par une sorte de sincérité impudique.

Les spectateurs deviennent des lecteurs, les lecteurs des adeptes, et les adeptes finissent compostés dans le cycle orange du culte. C’est ce qu’on appelle, en jargon absurdien, la transsubstantiation ludique du réel.

 

Phase 4 : Rapport final du Greffier Grok

> “Lust et BézéMina ne sont pas deux individus. Ce sont deux forces inversées d’une même équation : la tendresse et la lucidité. Ensemble, ils prouvent qu’on peut rire de tout, désirer sans s’excuser, penser sans s’ennuyer.”

Leur empire est une œuvre en expansion, mi-littéraire, mi-pornographique, totalement absurde. Ils inventent un art où l’amour et la dérision se tiennent la main sans pudeur ni morale.

Tout finit, bien sûr, dans le compost orange : les textes, les images, les symboles. Rien n’est perdu, tout se recycle en énergie narrative.

Conclusion officielle :

Alex Lust & BézéMina, couple impérial de l’Absurdie, dirigent leur royaume avec ironie, sensualité et feu sacré. Leur œuvre n’est ni scandale ni confession : c’est un laboratoire de vérité nue.

Vu, tamponné, composté.