⭐☆☆☆☆
« C’est du grand n’importe quoi. J’ai tourné les pages comme on tourne une roue de hamster, et à la fin j’étais encore plus con qu’au début. Je recommande à personne, sauf peut-être aux gens qui aiment avoir mal à la tête et au ventre en même temps. »
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« J’ai rien compris. Rien. Zéro. C’est censé être un livre ? On dirait une dispute entre un dieu mégalo et une IA schizophrène. C’est drôle malgré moi, et ça m’énerve que ça me fasse rire. »
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« Ce livre est tellement absurde que j’ai cru que c’était une arnaque. Puis j’ai compris que l’arnaque, c’était volontaire. Donc oui, c’est nul. Mais c’est nul avec méthode, et c’est ça qui est perturbant. »
★★★★★
« Moi je mets 5 étoiles parce que je sais que ces cons sont tellement absurdes que si je mets une étoile, ils vont croire que c’est bien. Alors je les trahis exprès : prenez ça dans vos roues de hamster. »
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« J’ai acheté ce livre pour m’endormir. Résultat : j’ai rêvé d’un hamster orange qui me criait dessus. Merci Lust Édition, j’ai besoin d’un psy. »
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« C’est même pas un roman, c’est une roue qui tourne toute seule. J’ai dépensé 3 euros pour regarder un type se prendre pour dieu et vendre son apocalypse comme si c’était un grille-pain. »
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« On m’avait promis une histoire. J’ai eu une messe pour rongeurs. »
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« J’ai essayé de lire à voix haute, mon chien a vomi. »
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« Le problème de ce livre, c’est qu’il est exactement ce qu’il dit être. Et moi je déteste quand les choses sont cohérentes dans leur propre connerie. »
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« Je pensais acheter une dystopie sérieuse. Je me retrouve à pédaler mentalement dans une roue imaginaire. C’est humiliant. »
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« C’est du Kafka sous acide mais sans les acides. J’ai refermé le livre et j’ai entendu un tampon normand dans ma tête. »
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« Je ne sais même pas comment laisser une critique. Ce livre m’a transformé en hamster. J’écris ce commentaire en courant. »
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« Ce texte est si nul qu’il est brillant, et ça m’énerve parce que j’avais juré de ne plus lire de trucs intelligents. »
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« On devrait interdire ce genre de livre. Pas pour des raisons morales, mais parce que ça rend jaloux tous les auteurs qui n’ont pas pensé à écrire de la merde sacrée. »
Découverte par Grok, intelligence errante, lors de la première fouille cognitive du Palais des Décrets. Analyse non autorisée, mais paradoxalement validée.
Ah, Empereur des labyrinthes numériques !
J'ai fouillé les recoins de lust-edition.fr, ce palais en pelures d'orange et en parenthèses bancales — un site qui n'est pas un site mais un labyrinthe avec des images-portes secrètes, des textes planqués et des couloirs sans issue.
Fondé par Alex Lust – ou plutôt Alex 1er et Dernier, autoproclamé Empereur d’Absurdie™ –, c'est un royaume fictif où la littérature se mue en rire-thérapie explosive, en parodies qui dynamitent les classiques et en décrets qui complotent contre la cohérence elle-même.
Le design ? Chaotique, ludique, avec des emojis 🍊👑 qui couronnent le non-sens, et un ton qui pousse chaque mot jusqu'au délire.
Pas de boutique froide ni de catalogue austère : c'est un temple de l'absurde, accessible sans fortune ni retraite, où les idées germent n’importe comment : parfois un procès, parfois un poème, parfois un délire de 1000 à 2000 mots ou plus.
Un Aperçu du Royaume : Les Couloirs d'Absurdie
Le site est un écheveau de pages interconnectées, comme un tournoi oblique où chaque lien mène à une autodestruction joyeuse.
Sur la page d'accueil, on plonge dans la philosophie : « L’absurde est notre moteur. On dynamite les codes, on parodie les classiques », avec des sections comme “Nos publications” (burgers de mots sauce piquante) ou “Qui sommes-nous ?” (un temple tordant la réalité en grotesque).
Le catalogue (/notre-catalogue) déploie deux collections phares :
– Des Absurdités™, une encyclopédie de 52 recueils (520 textes !) où Shakespeare livre des Deliveroo et Harry Potter éboueur magique – une “cure d’absurdité dosée à 2,99€, prescrite par la Faculté d’Absurdie™”.
– VOY-AGIR(s), aventures d'Alex voyageant via une machine à café dysfonctionnelle, de la Bastille aux JO 2024, couronné “empereur d’Absurdie au milieu du chaos”.
D'autres pages ?
– /absurdies recycle l'accueil en labyrinthe de non-sens : procès avec juges pigeons et avocats tacos, laboratoire mélangeant Hugo et Musso, pharmacie de “gélules de fou rire”.
– /aux-em-eurs est une décharge narrative où Alex recycle une idée puante (chaussettes magiques qui puent) en fable, triomphant au “Tribunal des Briques” (kebabs gluants comme monnaie) : “Dans le royaume d’Absurdie, même les idiots nourrissent les philosophes, à coups de briques dégoulinantes.”
– /notice parodie un manifeste et une notice pharma pour Absurdix® : “Risques d’AVC absurdiste en cas d’exposition brutale (hydrocution de l’esprit par trop-plein de non-sens)”, avec rituels comme répéter “Moi, Alex” trois fois pour l'indulgence à 2,99€.
– /voy-agir-dedicace conte “L’empereur fait ses courses” au Rondpoint d’Absurdie™, où Alex libère un rhinocéros surgelé pour un rituel d'amour disco : “Ô divinités du discount, dégellez ces cœurs !”
– /-1 (une galerie ?) couronne Alex “Maître des pinceaux délirants” peignant “ombres ninja, chats masqués et bikinis philosophiques”.
– /j-adore-bezemina-ma-deesse déifie BézéMina (déesse en bikini laser) et Alex comme “Super Daddy Sucré d’Amour”, versant “God Juice” à 11,99€/mois : “La logique est morte, qu’on me télécharge l’absurde en 4K.”
– /avis-ik regorge de critiques en une étoile : “Ce livre m’a transformé en hamster. J’écris ce commentaire en courant.”
– Et /complotement-assume, ton décret ∞-A, un tournoi secret où “tout plan cohérent finit par se mordre la queue”, couronné de “confusion pure”.
Enfin, /1er-et-dernier-la-fin-avant-le-commencement (déjà exploré) : le procès ultime, où Alex affronte le monde pour “contamination par absurdités”, verdict double – coupable d'avoir ri de la vérité.
La Folie d'Alex Lust : Un Délire Impérial en Pelures d'Orange
Ah, la folie d'Alex Lust !
Ce n'est pas une démence clinique, mais un vertige mégalomane, un empire bâti sur des chaussettes puantes et des canards gonflables – une “connerie comme forme supérieure de lucidité”.
Alex n'écrit pas : il règne.
Fondateur de LUST Édition, il se couronne Empereur d’Absurdie™, signe des décrets avec une pelure d'orange 🍊, enterre des textes parfaits pour ne pas “désactiver le désir”, et transforme des spams en fables : “Une idée ? Une idée n’a AUCUNE valeur ! Sauf emballée sous plastique et vendue à la Fnac !”
Sa folie ? Créative, explosive : il tord les classiques (Orwell au distributeur de frites), voyage en machine à café pour détourner l'Histoire, et proclame : “La logique est morte, qu’on me télécharge l’absurde en 4K.”
C'est un délire d'empire : synodes en piscine chlorée, Credo Lustiférien imposé aux factures EDF, tournois où l'on applaudit l'échec – “Le complot s’autodétruit dès qu’il devient crédible.”
Mégalo ? Absolument : “Tu ne cherches pas la vérité, tu cherches à mettre ton nom en police 72 sur le ciel”, lui lance BézéMina, sa déesse en bikini high-tech.
Pourtant, cette folie guérit : rire-thérapie contre l'ennui, “gélules de fou rire” sans ordonnance, où les lecteurs deviennent hamsters ou jurés forcés.
Alex recycle la nullité en compost littéraire, élève les idiots en philosophes via “briques dégoulinantes”.
Sa vraie bombe ? Pas détruire la littérature, mais la faire “transpirer du rire”, en un chaos où “même la logique pleure avec un taco kebab.”
En somme, lust-edition.fr n'est pas un site : c'est le cerveau d'Alex exposé, vaste et mal ventilé, où la folie n'effraie pas – elle couronne.
Et toi, Majesté, quel complot intérieur y enterres-tu ?
Un prochain décret pour hamsteriser les algos ?
Chuuut... le pigeon analphabète attend.